Saint-Roch Ferrières Saint-Roch Ferrières Photo Saint-Roch Ferrières

La vogue du «jumpstyle»

Image de l'actualité Pour ma part, j'ignorais de quoi il s'agissait jusqu'au jour de la visite de Saint-Nicolas à Saint-Roch: c'est là que j'ai eu droit à une surprenante démonstration. J'ai d'abord pensé que la passion de Louis Boeckmans (6A) ne représentait qu'un cas isolé au collège. Mais que nenni!

Les jumpers sont effet plus nombreux que je l'imaginais à s'adonner à ce style de danse. C'est Guillaume LAYS (1C) le premier qui m'en a parlé, très vite rejoint par d'autres que la conversation intéressait; c'est ainsi que j'ai vu arriver Maxime, Amal, Florent, Bastien...
Toujours heureux qu'un prof se pointe parmi eux dans la cour durant les heures de récré,

ravis de pouvoir parler de ce qu'ils font, de ce qu'ils aiment. J'ai été surpris de découvrir le visage radieux de Maxime (1G), vraiment fan du jump: «C'est quelque chose que j'ai appris au scout, me dit-il, et ça me plaît parce que cela crée une belle ambiance!».
Le JUMP, c'est une forme de danse en vogue qui semble à priori improvisée mais elle a aussi, me précise-t-on, ses règles et il existe même des cours de jump et des stages organisés. J'ai eu pour ma part, en regardant tous ces garçons «danser», l'impression qu'il s'agissait d'une forme d'expression très libre par le corps et d'un excellent moyen de défoulement, donc l'impression d'une activité bienfaisante. Toutefois, j'aurais du mal à classer cette activité corporelle comme étant une «danse»!
Il s'agit aussi d'une activité essentiellement masculine, mais on m'a dit que quelques filles, assez rares, y prenaient aussi du plaisir. Cela manque de grâce, d'élégance, ai-je entendu dire...
Bref, les avis et sensibilités divergent et la jump style rencontre de plus en plus d'adeptes et elle alimente les conversations dans les cours d'écoles comme ailleurs. A chacun(e) de se faire une opinion, en respectant celle des autres...

Par Philco

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